Suite à la publication de notre enquête «La part d’ombre » du professeur Séralini» , Claire Laurant nous a adressé un droit de réponse
Votre article intitulé « La part d’ombre du Professeur Séralini » tend à susciter le doute quant à mes compétences et à mes capacités à assumer les responsabilités qui peuvent être les miennes dans le cadre de ma collaboration avec la société SEVENE PHARMA. Docteur en anthropologie, ancienne assistante à l’Université, auteur de nombreux ouvrages, articles, travaux et études sur les plantes médicinales, membre de nombreuses associations de chercheurs sur ces sujets en France et à l’étranger, collaboratrice de fondations et d’Instituts mexicains opérant dans ces domaines ou ceux de la santé, je m’étonne que vous laissiez planer un doute sur ma qualité de spécialiste des plantes médicinales auxquelles j’ai d’ailleurs consacré ma thèse de doctorat. Vous suggérez également que je formerai une sorte de compérage incontournable avec le professeur Séralini pour promouvoir les produits de SEVENE PHARMA. Cette présentation n’est pas sérieuse. On retrouve souvent les mêmes spécialistes en fonction de certains thèmes lors des colloques, conférences, séminaires. C’est parce que Monsieur Séralini et moi-même figuront au rang de ces professionnels que nous nous retrouvons occasionnellement dans le cadre de tels évènements pour y être invités par leurs organisateur, sans nous être jamais concertés à cette fin. Je pense enfin qu’il est inopportun que vous portiez atteinte à la vie privée de quiconque en faisant état de son intimité réelle ou supposée dans les domaines spirituels ou philosophiques.