Dossier spécial

Droit d'inventaire sur les fausses bonnes idées en agriculture

Alors que la France traverse une période politique compliquée, certaines avancées ont tout de même pu être obtenues pour le monde agricole grâce essentiellement au vote de la loi Duplomb, qui complète partiellement la Loi d’orientation agricole, votée au courant du printemps de l’année 2025. Certes, la censure de l’article 2 de la loi Duplomb, censé remédier à certaines distorsions de concurrence concernant les produits phytosanitaires, apporte des limites à ces avancées et témoigne de la nécessité de continuer la mobilisation.

Un effet, le monde agricole, comme tous les secteurs économiques du pays, a besoin d’avoir des perspectives claires pour l’avenir. Les prochaines échéances électorales nationales seront donc essentielles pour s’assurer que le futur locataire de l’Élysée, de préférence soutenu par une majorité solide au Parlement, porte une politique agricole ambitieuse et performante. Pour cela, il faudra éviter les écueils que constituent les fausses bonnes idées. Dans cette brochure, nous avons en effet identifié neuf exemples de ces fausses bonnes idées adoptées par les précédents gouvernements, a priori louables mais qui finalement se sont révélées inutiles, voire même contreproductives pour le monde agricole.

Il semble donc indispensable qu’un état des lieux soit effectué. Soit pour abandonner définitivement un dispositif législatif dès lors qu’il ne répond pas à ses propres objectifs, soit pour apporter des améliorations à ce qui ne fonctionne pas bien. C’est un préalable incontournable si l’on veut éviter de faire de nouvelles lois absurdes pour le monde agricole.

Dossier spécial sur les fausses bonnes idées en agriculture

Administration, magistrature, médias publics :
La bataille culturelle des écologistes

« Une entreprise de contagion culturelle »

Depuis ces dernières années, alors que l’inquiétude monte à propos de l’urgence climatique et environnementale, de plus en plus de scientifiques s’engagent dans les mobilisations écologistes. Notamment pour remettre en cause les pratiques agricoles, avec des débats polémiques sur les pesticides et les OGM.

Que des scientifiques aient des engagements politiques est tout à fait légitime. Ce qui, en revanche, pose problème, c’est quand la frontière entre science et idéologie devient floue. Abusant de leur autorité de scientifique et se revendiquant comme des « lanceurs d’alerte indépendants », ces chercheurs militants avancent des « vérités scientifiques »… qui n’ont rien de scientifique. Cette confusion est volontairement entretenue pour servir directement les objectifs politiques de la nébuleuse écologiste décroissante.

A travers ce dossier, fruit d’investigations publiées dans la revue Agriculture & Environnement, j’apporte un éclairage inédit sur cette nouvelle mouvance. Bonne lecture !

bataille culturelle ecologiste administration magistrature média

Chercheurs militants : une science sous influence de l'idéologie politique

Depuis ces dernières années, alors que l’inquiétude monte à propos de l’urgence climatique et environnementale, de plus en plus de scientifiques s’engagent dans les mobilisations écologistes. Notamment pour remettre en cause les pratiques agricoles, avec des débats polémiques sur les pesticides et les OGM.

Que des scientifiques aient des engagements politiques est tout à fait légitime. Ce qui, en revanche, pose problème, c’est quand la frontière entre science et idéologie devient floue. Abusant de leur autorité de scientifique et se revendiquant comme des « lanceurs d’alerte indépendants », ces chercheurs militants avancent des « vérités scientifiques »… qui n’ont rien de scientifique. Cette confusion est volontairement entretenue pour servir directement les objectifs politiques de la nébuleuse écologiste décroissante.

A travers ce dossier, fruit d’investigations publiées dans la revue Agriculture & Environnement, j’apporte un éclairage inédit sur cette nouvelle mouvance. Bonne lecture !

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