A la question : « Entre Jospin et la gauche de la gauche, vous ne choisissez pas », qui a répondu : « L’un est social-démocrate, les autres sont des groupuscules archaïques. Ni l’un ni les autres ne sont notre tasse de thé »
1 – A la question : « Entre Jospin et la gauche de la gauche, vous ne choisissez pas », qui a répondu : « L’un est social-démocrate, les autres sont des groupuscules archaïques. Ni l’un ni les autres ne sont notre tasse de thé »
2 – Qui a dit : « Je suis d’abord un syndicaliste, pas un politique. »
3 – Au sujet de Daniel Cohn-Bendit, qui a dit « Nous lui mangeons un peu de son espace. Notre mouvement se développe. Il ne voit pas cela d’un bon œil, ça l’embête. J’ajoute que la première et dernière fois que j’ai vu Cohn-Bendit, c’était à Mèze, dans l’Hérault. Les députés verts européens m’avaient invité, ainsi que Pascal Lamy, le commissaire européen chargé du commerce, pour parler de la mondialisation et de l’OMC. Curieusement, ce jour-là, Cohn-Bendit est resté muet sur ce sujet…»
4 – Qui a dit : « L’élection présidentielle est le pire moment pour faire avancer des idées. Parce que le jeu consiste à ratisser très large, et donc à laisser certaines convictions dans sa poche. Ensuite, le candidat doit délivrer un message simple, alors que la réalité est toujours complexe. Cela devient de la propagande. C’est une technique d’homme d’Etat. Ce n’est pas la mienne. »
5 – Enfin, qui a dit : « Je n’ai pas la langue de bois. Les gens ont vite compris que je n’étais ni manipulateur ni machiavélique ».
Réponse (1-2-3-4-5) : José Bové dans le Nouvel Observateur du 17 février 2000