TERRITOIRES D’OUTRE-MER
Un plan d’autonomie alimentaire dans chaque territoire ultramarin pour soutenir l’économie locale et lutter contre la vie chère.
DROIT A L’ERREUR
Nous créerons un droit à l’erreur pour tous. Les contrôles opérés par les pouvoirs publics se feront non plus pour sanctionner mais pour orienter. Le contrôlé de bonne foi pourra faire valoir son droit à l’erreur, et ne sera donc pas sanctionné.
MÉTHANISATION
Nous encouragerons les projets de méthanisation en maintenant des aides, en engageant une simplification administrative et en accélérant le raccordement au réseau électrique des unités.
FARM TO FORK
Le soutien d’Emmanuel Macron au programme “Farm to fork” de la Commission est une faute : nous reviendrons sur le programme “Farm to fork” (“De la ferme à la fourchette”)
AIDES PUBLIQUES
Reconquérir la souveraineté alimentaire française et cultiver en France tous les produits qui peuvent l’être en orientant les aides publiques à la production et à l’innovation
Pas de proposition
PRÉVENTION DU SUICIDE
Nous engageons en outre un processus de reconnaissance du suicide agricole en maladie professionnelle.
FINANCEMENT & PROGRAMME
Les mesures présentées dans ce plan représentent des dépenses sur deux volets : le soutien aux paysan·nes et à la bifurcation écologique de l’agriculture et la mise en place du droit à une alimentation de qualité pour toutes et tous.
Le premier volet, consacré au soutien aux paysan·nes et à la bifurcation écologique de l’agriculture, comprend : aides à la conversion, soutien à l’agriculture biologique, aides à l’installation, soutien des projets alimentaires territoriaux, aides à la transition pour sortir de l’élevage industriel et caisse de défaisance pour les paysan·nes converti·es au 100% bio. L’ensemble de ces mesures représente un coût total de 1,3 milliards d’euros par an.
Le second volet de dépenses concerne la mise en place du droit à une alimentation de qualité pour toutes et tous : la gratuité des cantines scolaires, la conversion de la restauration collective au 100 % bio et local, l’expérimentation de la garantie universelle d’accès à des aliments choisis — avec la création de nouveaux magasins et des mesures d’aide alimentaire pour les personnes en situation de précarité — ainsi que la lutte contre la malbouffe. Ces dépenses représentent un coût total de 4,2 milliards d’euros par an.
La mise en place d’une taxe kilométrique sur les importations, détaillée dans le plan dédié à la relocalisation, rapporte, quant à elle, environ 3,5 milliards d’euros.
Ces dépenses sont à mettre en regard des coûts que la transformation radicale de notre système alimentaire permettra d’éviter : ainsi, selon le rapport de la commission d’enquête sur l’alimentation industrielle présidée par le député Loïc Prud’homme en 2018, la malbouffe pèse actuellement 50 à 60 milliards d’euros par an sur notre budget du fait des épidémies de maladies chroniques qu’elle provoque : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers.
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