TRAÇABILITÉ ALIMENTATION
Soutenir les produits locaux et de qualité accessibles à tous en instaurant une traçabilité totale des produits agricoles et agroalimentaires et l’étiquetage et en réformant les règles de la commande publique pour favoriser les productions locales et les circuits courts.
COMMANDE PUBLIQUE
Soutenir les produits locaux et de qualité accessibles à tous en instaurant une traçabilité totale des produits agricoles et agroalimentaires et l’étiquetage et en réformant les règles de la commande publique pour favoriser les productions locales et les circuits courts.
D’ici 2027, les repas servis dans toutes les cantines publiques (écoles, hôpitaux, administrations…) devront utiliser au moins 50 % de produits issus d’un approvisionnement local ou bénéficiant d’un label comme l’agriculture biologique, la pêche durable.
TRAÇABILITÉ ALIMENTATION
Projet de patriscore pour rendre plus transparente la provenance des produits
COMMANDE PUBLIQUE
Privilégier les circuits courts en augmentant la part de produits locaux dans la restauration collective en entreprise et dans les écoles
PRIX ALIMENTAIRES
Augmenter les volumes destinés à l’aide alimentaire des plus démunis. « En accord avec les représentants des filières agricoles et agroalimentaires françaises, notre pays mènera une politique plus généreuse en faveur des plus démunis.
TRAÇABILITÉ DE L’ALIMENTATION
Contre la « malbouffe » de nulle part, des étiquettes qui affichent les origines des produits : afin de répondre à cette attente légitime de nos concitoyens, la mention de l’origine des produits distribués dans notre pays sera rendue obligatoire.
COMMANDE PUBLIQUE
Atteindre 80% de produits agricoles français dans les cantines : au titre de la priorité nationale, pour atteindre 80% de produits français, il convient de modifier le cadre réglementaire afin de promouvoir le localisme. Cela permettra d’inverser durablement la tendance et de faire des importations l’exception.
PRIX ALIMENTAIRES
Le gouvernement prend un décret bloquant les prix des produits alimentaires de première nécessité afin de garantir l’accès à cinq fruits et légumes de saison à prix bloqués, en invoquant les circonstances exceptionnelles prévues aux articles L. 140-2 et L. 140-3 du Code du commerce. Pour pérenniser le dispositif, le Parlement vote ensuite la modification des articles L. 410-2 et L. 410-3 du Code du commerce afin d’autoriser partout en France le blocage des prix en situation d’urgence sociale.
Ainsi, la liste des cinq fruits et légumes et leur prix sont déterminés en associant, dans chaque région, les organisations de producteurs et productrices dans chaque région et des citoyen·nes.
Les prix fixés tiennent compte de la nécessité d’assurer les revenus des paysan·nes : les prix sont bloqués aux coûts de revient pour les paysan·nes, complétés d’une marge définie pour chaque maillon de la chaîne.
Ces coefficients multiplicateurs garantissent à la fois la juste rémunération des producteurs et un prix raisonnable pour l’acheteur·se, en diminuant les marges souvent démesurées des intermédiaires et de la grande distribution. La grande distribution se voit obligée de mettre en rayon les produits à prix bloqués.
COMMANDE PUBLIQUE
Nous planifions la transition vers une restauration collective 100 % biologique et locale, avec une option végétarienne quotidienne et un menu hebdomadaire végétarien pour tou·tes les usager·es. La restauration collective est un levier majeur de la transformation agricole : elle offre des débouchés massifs aux producteurs, tout en donnant accès à une alimentation de qualité à l’ensemble des usagers de cantines ou restaurants d’entreprises.
GASPILLAGE ALIMENTAIRE
Nous lancerons au niveau européen une stratégie alimentaire commune et un plan de lutte contre le gaspillage alimentaire, dans le sillage du plan d’urgence pour la sécurité alimentaire qui est en cours de déploiement.
COMMANDE PUBLIQUE
Nous mangerons 100 % bio et local dans les cantines.
À horizon 2027, toute la nourriture servie dans les cantines publiques des écoles, des administrations, des universités, des hôpitaux ou encore des prisons sera bio, locale, moins carnée, de meilleure qualité, respectueuse du bien-être animal et achetée au juste prix aux agriculteurs. Nous mettrons en place une prime à l’investissement pour accompagner les collectivités et former le personnel. Nous favoriserons en outre cette transition écologique de l’alimentation dans la restauration collective privée.
Pas de proposition